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Soulignée par la COP26 de Glasgow, le secteur de la logistique doit adopter des solutions digitales pour limiter la pollution du transport.
En termes de réduction de l’empreinte carbone, fin novembre 2021 à Glasgow, les États membres de la COP26 affichent une demande pressante aux entreprises de transport. Quelles solutions digitales pour limiter la pollution du transport et ainsi répondre à l’objectif 2030 de l’Union Européenne ?
En France, 80 % de la pollution provient des transports selon l’ADEME1. L’impact environnemental de la filière est par conséquent considérable.
Chaque entreprise est pleinement sollicitée pour amoindrir sa part dans le marasme climatique.
Le secteur du fret observe une croissance continue depuis 2013. Selon le rapport du 19 mai 2021 du Sénat sur l’impact du transport routier2, il apparaît clairement que près de 90 % de l’acheminement intérieur de marchandises est réalisé par la route.
Cependant, le transport routier demeure le mode de transport le plus polluant en comparaison avec le transport :
Le Sénat propose 40 propositions pour limiter la pollution dans le transport de marchandises.
Ces propositions opérationnelles visent à encadrer l’ensemble des acteurs comme :
Au niveau des entrepôts et des plateformes logistiques, il convient ainsi d’opter pour des nouvelles solutions de Supply Chain Management.
Ces dernières permettront d’optimiser les chargements des camions et de sélectionner le prestataire idéal. Il devra proposer une flotte à énergie alternative par exemple.
Chaque entreprise doit en prime assurer la traçabilité de l’émission des gaz à effet de serre (GES) sur toute l’étendue de la chaîne.
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Dans ce contexte, la digitalisation des flux logistiques et de leur supervision apparaît inéluctablement comme la solution à adopter et rapidement.
Pour moins polluer, les entreprises ont pour mission d’agir à chaque niveau de leurs activités.
Le premier maillon concerne les approvisionnements et le stockage des matières premières dans les entrepôts.
Dès lors qu’un véhicule est utilisé, son émission de CO2 est estimée, mesurée et analysée pour la minimiser. Le but est de favoriser les combustibles verts et les énergies électriques.
Les différents flux au sein même des quais et des services (production etc.) sont concernés. Une gestion logistique optimisée et automatisée réduira l’impact sur l’écologie.
En dernier maillon, la gestion des expéditions du premier au dernier kilomètre fait également l’objet d’une attention particulière.
Pour chaque moyen de transport, sur une distance courte, voire minime au sein même de l’entrepôt, ou sur une longue distance, il est nécessaire d’étudier une alternative soit :
Toutes ces options requièrent une agilité de l’entreprise qui va alors opter pour des solutions digitales de flux de données.
Pour atténuer l’impact environnemental, la solution optimale réside dans l’utilisation d’une plateforme collaborative transport.
Elle met en commun les données et les acteurs prestataires logistiques de la chaîne supply.
Chez DDS Logistics, la plateforme collaborative transport Join2ship représente un véritable réseau social qui réunit à la fois les expéditeurs, les destinataires et les transporteurs pour une gestion logistique rentabilisée.
En tant qu’expéditeur, vous pouvez ainsi regrouper vos expéditions et par conséquent réduire le vide dans les camions.
Cette première action n’est pas négligeable pour la décarbonisation du secteur.
Visionnez notre webinar « Décarboner sa logistique : comment faire ? »
Désigner votre transporteur en fonction des données environnementales de sa flotte et opter pour l’option la plus propre sont également des avantages majeurs dans la course à la réduction de l’impact carbone.
Quant à vous, transporteurs, la fonction groupage de livraisons de cet outil digital rentabilisera les trajets de vos camions : les allées et venues inutiles et polluantes sur le réseau routier français ou international sont réduites.
Cette mutualisation est une des options porteuses d’espoir pour réduire la pollution du secteur.
Plus en amont, organiser et piloter les flux sont deux leviers très intéressants pour limiter la pollution de chaque étape de l’approvisionnement, de l’entreposage, du conditionnement et de la gestion des expéditions.
Initier un projet TMS permet d’agir sur la pollution émise tout au long de la chaîne logistique, de manière tangible. L’efficacité pérenne induite par l’installation d’un logiciel de gestion TMS est notable sur les différents flux logistiques.
Les bénéfices ressentis touchent l’ensemble des secteurs d’activité de l’entreprise : la production, la qualité et la direction financière en ressentent promptement les effets en termes de coûts et de satisfaction client notamment.
La solution TMS DDS Shipper de DDS Logistics vous apporte la flexibilité et la rentabilité écologique que l’Objectif CO2 de 2030 exige. En effet, en regroupant automatiquement vos commandes, il facilite l’élaboration de vos plans de transport et vos choix de prestataires selon une option plus propre, moins chère et mieux-disante.
Cette solution digitale s’implémente d’outils technologiques comme le calculateur Green Move.
Green Move s’avère être l’allié majeur dans la limitation de la pollution. Ses fonctions mesurent et analysent les rejets carbonés de la totalité de l’activité transport.
Pour réduire la pollution du transport de manière optimale, conformément à la législation, DDS Logistics vous invite à mettre en œuvre les différentes solutions digitales : le logiciel de gestion TMS DDS Shipper implémenté du calculateur Green Move et d’accéder à la plateforme collaborative Join2ship.
Demandez nous une démonstration.
1 : Infographie de l’ADEME sur la pollution de l’air en Europe
2 : Rapport du Sénat du 19 mai 2021