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Dans un contexte de crise climatique et d’efforts conséquents pour en limiter les conséquences, les entreprises doivent prendre conscience de l’impact environnemental de leurs activités logistiques et entreprendre une démarche de décarbonation.
Dans cette optique, il est souhaitable d’intégrer l’impact écologique des expéditions dans une stratégie de développement durable. Et de mettre en œuvre des solutions concrètes afin de réduire ses émissions de CO2 transport.
C’est un fait ! Le transport de fret constitue une part importante des volumes de gaz à effet de serre rejetés par les entreprises. Hors il n’est plus possible d’ignorer l’impact environnemental des activités de transport, les organisations faisant l’objet d’injonctions toujours plus pressantes de la part des parties prenantes :
Dans ce contexte, les entreprises sont incitées à agir et à réduire leurs émissions de CO2 transport. Non seulement pour protéger l’environnement (ce qui est, en soi, essentiel), mais également pour :
Un simple regard de complaisance sur les processus logistiques ne suffit pas. Il faut :
C’est la condition sine qua non pour influer positivement sur les émissions de CO2 transport et faire réellement la différence.
Compte tenu de la complexité des flux, des process et des systèmes de mesure, il est nécessaire de focaliser ses efforts en vue de réduire ses émissions de CO2 transport sur trois domaines d’action prioritaires :
C’est le domaine d’action le plus évident a priori. Celui sur lequel il peut sembler le plus simple d’agir. Il faut savoir que le mode de transport à lui seul influe énormément sur les volumes de gaz à effet de serre émis.
Les ordres de grandeur sont les suivants : pour 1 tonne de marchandises transportée sur 1 kilomètre, le bateau émet 3 grammes de CO2, le train 18 grammes, le camion 47 grammes, et l’avion… 560 grammes !
Le report sur des modes de déplacement moins polluants comme le bateau ou le train permet donc de réduire notablement ses émissions de CO2 transport. Il existe aussi d’autres leviers comme :
Une bonne façon de limiter ses émissions de CO2 transport consiste à réduire l’ampleur de ses expéditions en optimisant les composantes de sa chaîne logistique comme :
Pour des émissions de CO2 transport réduites, il est également possible de limiter ses besoins. Plus facile à dire qu’à faire ?
Pourtant, une analyse approfondie des schémas logistiques, avec le concours des partenaires et la participation des clients, permet de restreindre de façon sensible les besoins en transport.
Une fois les domaines identifiés, il reste à mettre en place un plan d’action pertinent pour mesurer ses émissions de CO2 transport et agir de façon concrète. Un plan qui peut se dérouler en quatre étapes :
Pour donner vie à ce plan d’action, et ainsi agir de manière tangible sur les émissions de CO2 transport, il est néanmoins indispensable d’employer des outils technologiques dédiés comme en propose DDS Logistics, à l’image du calculateur « Green Move » permettant de :
Toutefois, une réduction notable et pérenne des émissions de CO2 transport passe par un travail d’optimisation globale de la Supply Chain afin de réduire les besoins et d’améliorer l’efficacité des flux logistiques, ce que seul permet de faire un logiciel de gestion TMS.
Les vertus de cet outil ne sont d’ailleurs pas seulement écologiques. Les bénéfices s’en font sentir également en termes de productivité, de satisfaction client, et d’économies. En somme, c’est une manière de réduire tout à la fois ses émissions de CO2… et ses coûts !
À lire également : « Comment contrôler l’émission CO2 pour le transport ? »