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Le contrôle de l’émission CO2 transport, une des problématiques des logisticiens à l’heure actuelle ! Comment faire ? Comment contrôler le volume de CO2 émis dans le transport de marchandises (TRM) et répondre aux prérogatives gouvernementales ? DDS Logistics vous apporte ses réponses.
Fer de lance des gouvernements, la lutte contre le réchauffement climatique implique des transitions drastiques dans les pratiques en logistique. Ces transitions concernent la totalité des sources de rejet de gaz à effet de serre dans l’atmosphère de leur détection à leur traitement.
Comment contrôler les émissions de CO2 pour en réduire l’incidence sur notre environnement ? La méthode s’articule autour de 4 axes :
Le CO2 anthropique provient essentiellement des processus de combustion des énergies fossiles.
Dans le secteur du transport routier, les différents postes d’émission de carbone sont identifiés selon la classification de l’ADEME.
Avant de réduire les émissions de GES, il est primordial d’en déterminer les valeurs émises.
Établir le bilan carbone des différents pôles de la société constitue une étape majeure Production, logistique, pôle numérique etc., tous les services des entreprises polluent à leur manière. La baisse des émissions des gaz polluant ne sera effective qu’à cette condition.
Les différentes valeurs sont déterminées soit :
Le calcul et la mesure sont effectués par des solutions numériques telles qu’un TMS relié à un calculateur. Chez DDS Logistic, le calculateur Green Move est l’outil pour mesurer, diminuer et tracer les émissions lors des expéditions de marchandises. En outre, l’implémentation de capteurs physiques détectant les niveaux de pollution (échappement, consommation lors de la conduite, etc.) permet de mesurer les valeurs de la pollution.
Un autre moyen consiste à estimer les valeurs résultantes avec des bases de données. En France, l’ADEME produit la Base Carbone. Il s’agit de la référence gouvernementale pour les sources émettrices carbone.
???? Pour décarboner le secteur, il faut agir sur l’ensemble des leviers polluants.
Pour les entreprises de logistique, le gros effort concerne la flotte de véhicules de transport de marchandises. Toutefois, il convient de ne pas oublier une partie du parc de véhicules : voitures de fonction, etc.
En effet, selon la taille de l’entreprise et les kilomètres parcourus par les dirigeants et les commerciaux, ces trajets routiers ont leur part d’importance. Il est donc essentiel d’insérer ces voitures dans l’étape de prises de décision (motorisation essence, diesel, électrique voire à hydrogène dans un avenir proche – covoiturage – formation en éco conduite etc.).
Un bilan carbone neutre est le Graal que toute entreprise européenne vise depuis les accords de l’Union européenne et les rapports du GIEC sur cette question énergétique.
Il est important de comprendre que la neutralité carbone ne correspond pas forcément à un bilan 0 émission (ou bas carbone). Pour atteindre un bilan équilibré émission/absorption, l’entreprise peut agir sur de multiples leviers :
Au sein de la Supply Chain, le premier volet concerne la flotte de véhicules.
La personne chargée des achats et de l’entretien de véhicules (voitures et poids lourds) se focalise sur les critères écologiques et énergétiques lors du choix.
À titre d’exemple, le Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires a mis en place le bonus écologique lors de l’achat d’un véhicule (voiture, camionnette et poids lourd).
Cette flotte doit répondre à des critères bien précis, dont le fait d’utiliser comme source d’énergie, une énergie renouvelable : l’électricité, l’hydrogène ou une combinaison des deux.
Le secteur de la logistique a les yeux rivés sur les études scientifiques au sujet du carburant et leur impact environnemental. La recherche scientifique s’active autour de solutions énergétiques de nature responsable et écologique. Limiter l’empreinte atmosphérique des gaz demeure au centre des préoccupations. Les constructeurs automobiles ont ainsi augmenté la production de véhicules toute distance en mode hybride, électrique ou utilisant un éco carburant (bioéthanol, hydrogène, etc.).
En termes d’impact environnemental, toute action doit être précédée de l’adhésion complète des employés. Seule cette volonté humaine conduira à un impact fort et un effet durable. Le rôle de l’entreprise est de diffuser l’information chiffrée, exacte et à fort potentiel d’impact.
La formation à des questions d’environnement aura pour effet que chaque individu deviendra responsable de ses prestations au cœur de l’activité de l’entreprise. Par exemple, une formation en éco conduite servira à la fois aux conducteurs de camions, et aussi aux commerciaux, dirigeants dans leurs trajets professionnels avec leur véhicule de fonction.
Lorsque les données des émissions s’affolent, il s’avère parfois difficile de ne miser que sur une chute importante des sources polluantes. Abandonner le diesel, réduire les retours à vide et les immobilisations ne suffisent pas dans tous les cas. Il convient alors de mettre en place des compensations énergétiques :
Celles-ci sont des figures d’évolution contre la production de CO2.
Lors de votre état des lieux en GES, vous êtes surpris de la forte valeur en tonnes kilomètres émis par vos camions semi-remorques ? Vous rencontrez des difficultés à effectuer vos calculs ? DDS Logistics a rédigé un guide pour vous accompagner vers la réduction de vos gaz à effet de serre. Téléchargez-le en cliquant ici.