Avec une augmentation de 26 % de son chiffre d’affaires en 2005, DDS Logistics renforce son emprise sur le secteur du TMS en France et confirme sa place de leader sur ce marché en pleine croissance.
Fidèle à ses habitudes, DDS Logistics affiche cette année encore une progression de son chiffre d’affaires supérieure à 20 % pour atteindre 4 millions d’euros. L’entreprise dégage par ailleurs une très bonne rentabilité avec un résultat net de 10 % du chiffre d’affaires.
« Depuis 2000, nous maintenons de forts niveaux de croissance, et en l’espace de 5 ans nous avons multiplié notre chiffre d’affaires par 5. L’année 2006 devrait confirmer cette tendance et nous attendons une évolution équivalente à celle de 2005, souligne Jérôme Bour, Président Directeur Général de DDS Logistics ».
Pour y parvenir, l’éditeur s’appuiera tout d’abord sur le développement naturel du marché du TMS favorisant l’acquisition de nouveaux clients à l’image d’Arcelor, avec sa filiale Ugine & Alz, ou du transitaire Autotrans, tous deux signés en 2005.
« Par ailleurs, l’élargissement régulier de notre portefeuille client génère un chiffre d’affaires récurrent reposant sur notre offre mode ASP et sur les services de maintenance. Aujourd’hui, cette part de récurrent atteint 1/3 du CA et se renforcera régulièrement, reprend Jérôme Bour ».
Parallèlement, les effectifs ont également augmenté, notamment en Recherche & Développement et en Support Après Vente. Aujourd’hui, l’éditeur compte 45 collaborateurs.
Un développement international
DDS Logistics, qui réalise déjà 10 % de son chiffre d’affaires à l’international, va intensifier son déploiement hors de nos frontières en poursuivant l’accompagnement de ses clients dans leurs projets internationaux, comme Gefco, Total ou Carrefour, mais également avec la mise en place d’une véritable politique d’implantations à l’étranger.
Et pour l’avenir …
« Nous allons créer deux filiales, l’une au Benelux, la seconde en Espagne. Ce sont 2 marchés stratégiques qui présentent un fort potentiel et un faible niveau de concurrence, un peu similaires au marché français d’ailleurs, et qui nécessitent une présence opérationnelle directe si l’on souhaite s’y développer durablement. À moyen terme l’essor de la partie export devrait donc fortement s’accélérer, explique Jérôme Bour »
Sur un plan technique, enfin, l’éditeur devrait achever dans les 2 ans à venir le chantier technique autour de l’architecture dot.net de Microsoft, finalisant ainsi le portage de l’ensemble de ses applications en mode web.